Qui sommes-nous ?
Sous le signe de Pouchkine
L'amour, la mort, l'argent, la folie… Publiée pour la première fois en 1834 dans la revue Cabinet de lecture, La Dame de Pique fait partie de ces œuvres qui renferment toute la vie dans quelques pages. Cette nouvelle fantastique est le fruit du labeur d'un poète, Alexandre Pouchkine (1799-1837), qui fut aussi journaliste. Bien à ses dépens ! Le Contemporain d'Alexandre Sergueïevitch, cette revue trimestrielle littéraire et politique fondée et dirigée par le poète, survécut difficilement faute de partager les valeurs du pouvoir d'alors et disparut avec son créateur l'année suivant sa première parution. Peut-être Pouchkine n'avait-il pas en tête que le poète n'est d'aucun parti.
Un journal dédié à toute la Russie
Souvent méconnue et envisagée par le prisme manichéen de la politique, l'immense Russie et sa pluralité nous fascinent. C'est pourquoi nous avons décidé de dédier un journal culturel à ce pays et aux relations qu'il est amené à entretenir avec d'autres nations, d'autres cultures. Fort d'un réseau de correspondants répartis dans toute la Fédération, La Dame de Pique s'attache à raconter toutes les régions de Russie au même titre que Moscou ou Saint-Pétersbourg.
Un médium culturel
C'est par le biais de la culture, ce médium universel qui stimule les échanges et la compréhension entre les populations, que la connaissance ou, plus modestement, la découverte de la Russie s'est imposée à La Dame de Pique. La culture qui sait s'affranchir de réalités parfois douteuses. La culture encore, sans aucune autre utilité que celle de se suffire à elle-même. La culture enfin, dans son champ sémantique le plus large. Des lettres aux arts visuels et du spectacle en passant par des sujets de société, des articles consacrés à la gastronomie ou encore des reportages voyage, La Dame de Pique veut se faire l'écho d'une société russe complexe et exigeante et de tout un pan de son quotidien. Dans cette même perspective, un agenda déploie chaque jour sa sélection d'événements culturels qui se tiennent entre Kaliningrad et Vladivostok.
Des articles souvent décalés
Chaque semaine, La Dame de Pique publie des articles que vous ne verrez pas ailleurs. Affranchis du mainstream médiatique qui noircit la toile, la rendant parfois illisible, ses reportages sont nécessairement inédits. Ce journal s'attache à décrire, sinon la marge, du moins ce qui fait aussi la culture russe mais ne jouit pas de la même visibilité. Originaux, ses articles le sont aussi de par leur traitement souvent décalé. Il en est de même pour les illustrations qui les accompagnent : elles sont le fait de graphistes qui répondent à une demande particulière.
Une iconographie soignée
« Comme un beau cadre ajoute à la peinture », La Dame de Pique attache beaucoup d'importance à son esthétique et encadre ses textes avec des illustrations originales et des images de qualité. Des diaporamas photo peuvent aussi accompagner les articles. Une rubrique « portfolio » héberge spécialement des photo reportages réalisés autour de problématiques russes par des photographes professionnels venus de tous horizons.